Bruno Mégret: "Il est possible de sauver la France"
Pour la sortie de son nouveau livre "Salus Populi", Bruno Mégret a été invité par TV Libertés. Entretien réalisé par Martial Bild.
Bruno Mégret: "Il est possible de sauver la France"
Pour la sortie de son nouveau livre "Salus Populi", Bruno Mégret a été invité par TV Libertés. Entretien réalisé par Martial Bild.
Lors de sa rencontre avec Hitler, le 25 août 1944, il reçoit la Croix de Fer avec feuilles de chêne. Hitler lui dit : « Si j’avais eu un fils, j’aurais aimé qu’il fût comme vous. »
Promu SS-Sturmbannführer en avril 1944, la campagne de recrutement menée par Degrelle au cours de l’été 1944 auprès des travailleurs belges en Allemagne ne rencontre qu’un maigre succès.
Lors de la bataille des Ardennes, Degrelle est cantonné à l’arrière du front avec un petit détachement motorisé et ne prend aucune part aux combats.
Nommé Volksführer der Wallonen par Hitler le 23 novembre 1944, il reçoit, le 1er janvier 1945, « les pleins pouvoirs pour les affaires civiles, politiques et militaires pour les Wallons séjournant dans les territoires occupés par les troupes allemandes » et décrète aussitôt la mobilisation des classes 1924 et 1925 pour tous les ressortissants belges qui se trouvent sur le territoire du Reich.
Degrelle est condamné à mort par contumace en ¼ d’heure par le Conseil de Guerre de Bruxelles, le 29 décembre 1944.
Degrelle rencontre Heinrich Himmler, le 2 mai 1945, et à cette occasion, est nommé verbalement au grade de SS-Oberführer...
Malgré les échecs politiques, la défaite militaire et l’exil, Degrelle reste plus que jamais fidèle à ses convictions. Un incessant travail d’écriture qu’il entreprend dès 1945 témoigne de son attachement viscéral à la nature de la cause qu’il défendait.
Degrelle a été naturalisé, par adoption en 1954, sous le nom de Léon José de Ramirez Reina.
Dans la nuit du 22 au 23 novembre 1975, Degrelle participe pendant deux heures à la veillée funèbre du corps de Franco, et est ensuite victime d’un malaise cardiaque...
Il est proche du Front national et est un admirateur et un ami de son dirigeant, Jean-Marie Le Pen, qui en 1973, fait faire un double 33 tours de ses discours pour sa maison d’édition, la SERP. Lors d’une émission du Droit de réponse, sur TFI, le 22 mai 1988, Le Pen déclare : « je connais Léon Degrelle comme je connais un certain nombre d’hommes politiques mondiaux. […] C’est un monument de la seconde guerre mondiale et un personnage historique tout à fait extraordinaire.»
Le 5 mars 2009, la RTBF diffuse un nouveau documentaire de 104 minutes, « Degrelle, la Führer de vivre », qui rencontre un réel succès d’audience, avec 464 000 spectateurs pour le documentaire et 280 000 pour le débat qui lui fait suite. La version française sera diffusée un an plus tard et censuré de passages jugé révisionnistes.
Léon Degrelle s’éteint à l’âge de 87 ans, à 23 heures 10, le 31 mars 1994 à Malaga, à la clinique Parque San Antonio où il a été admis le 10 mars en raison d’insuffisance cardiaque. Il est incinéré le lendemain. S’exprimant dans le cadre du documentaire Degrelle, ou la führer de vivre, Jean Vermeire, ancien officier de la légion Wallonie, déclare qu’il a lui-même dispersé les cendres du Chef à Berchtesgaden.
Le 18 avril 1994, un arrêté royal interdit le retour des cendres en Belgique…
En Vente sur le site: Synthèse Éditions
« Qui suis-je? » Degrelle – Francis Bergeron, 2016, édition Pardès, 128 pages. 15€ port compris à CALD – BP 92733 – 21027 Dijon Cedex ou en ligne : ici
La rédaction de la toute nouvelle revue Caritas, la Revue du Pays Réel, qui prend la place laissée vide par l’ancienne revue Civitas, a décidé de consacrer le dossier de son 1er numéro à la Lutte contre la haine anticatholique.
Tout dans l’actualité montre que les ennemis de la foi catholique sont à la manœuvre pour éteindre la lumière du Christ dans la Cité, en interdire le culte, en extirper la croyance des âmes dès l’enfance.
A l’heure où les forces des Ténèbres ont décidé de darder leurs flèches sur Civitas, il est utile, et revigorant, de nous plonger dans l’histoire des catholiques qui ont refusé de céder et ont voulu continuer à faire vivre la lumière de la Croix. Dans le passé, avec Lépante ou les Cristeros, comme aujourd’hui, avec les héros de SOS Calvaire, les catholiques ont su résister. Ce 1er numéro de Caritas rappellera également aux lecteurs que l’ennemi est polymorphe, il travaille à transformer les esprits dès l’école : c’est un appel à la vigilance pour les parents.
Dans ce numéro, vous découvrirez aussi deux entretiens exclusifs : l’un avec Alain Escada qui retrace l’historique du parti catholique Civitas qui a subi récemment les foudres du ministre Darmanin, ce dernier en ayant annoncé la dissolution, contestée par recours devant le Conseil d’Etat ; l’autre avec le directeur de SOS Calvaire, Alexandre Caillé, qui expose le louable objectif de cette jeune association : restaurer le petit patrimoine chrétien français en rénovant, inventoriant et revalorisant les crucifix, les croix, les calvaires, les oratoires, les chapelles que l’on voit dans notre beau pays, la France.
La revue Caritas, comme son nom l’indique, se doit de laisser le dernier mot, le plus importante, à la spiritualité catholique, -et son œuvre bienfaitrice dans la Cité-, qui a pour fondement la Charité du Christ : dans un article intitulé Tendre l’autre joue, le R. P. Joseph d’Avallon tord le cou au lieu commun qui voudrait que le christianisme soit une religion fabricatrice d’êtres humains faibles et lâches. Or vous verrez qu’il n’en est rien…
Revue Caritas, n° 1, Lutter contre la haine anticatholique, 10€
https://medias-culture-et-patrimoine.com/products/revue-1-lutter-contre-la-haine-anticatholique
Quel spectacle ignoble de voir cette foule de parlementaires, dans sa grande majorité, applaudir avec joie cette fierté d'autoriser de mettre fin à la vie de ses enfants dans le ventre de leur mère et d'en faire une "valeur" fondamentale, un socle de son fonctionnement. Cette politique mortifère conduite par la secte maçonnique est le suicide d'une nation. Le grave déclin démographique qui en résulte sonne le glas du peuple français que ceux qui nous gouvernent prétendront encore compenser par toujours plus d'immigration.
Le plan mondialiste de dépopulation poursuit ainsi son chemin à cadence accélérée. Ce crime contre Dieu, contre les enfants à naître et contre la Patrie entraînera bien des châtiments dans les années à venir. Alain Escada